Quel genre d'enfance as-tu eu ?
Je n’aime pas parler de mon enfance, mes parents m’ont vite oublié, j’étais comme invisible pour eux, c’est comme ça qu’est venu ma vocation, celle d’être un Dieu du camouflage, même si on a tendance à plus me voir quand j’essaie de me camoufler.

Pourquoi te spécialiser dans cette classe et ce type d'unité ?
Depuis petit je m’entraîne à tirer les Kunais de mon père dans des cibles, j’étais si invisible pour mes parents que je me suis découvert une passion pour le camouflage, je me sentais obligé d’être Ninja après ça et les Ninja n’ont pas besoin de monture ni d’armure, on ne les voit pas.

Crois-tu en Kila ou en Soma ?
Soma…
Quel est ton animal préféré ?
La taupe, j’aimerai m’inspirer d’elle pour mes prochains camouflages.

Ton menu préféré ?
Val dans mes rêves. Sinon j’aime bien les fraises des bois.

Le moment de la journée que tu adores par dessus tout ?
La nuit, personne ne me voit, mais je ne vois personne aussi.

La ville ou destination que tu préfères et/ou que tu aimerais visiter ? Et pourquoi ?
Je n’y ai jamais fait attention… Je suppose un endroit où on dort bien, c’est toujours agréable après une journée difficile.

Ta plus grande peur ? Ou ta phobie ?
J’ai peur d’être invisible aux yeux des autres, un comble pour un ninja, mais quand je désire être vu, personne ne me voit, personne ne fait attention à moi. J’ai l’impression de ne n’avoir jamais existé.

As-tu, plus peur des morts-vivants, des fantômes ou des sans-visages ? Pourquoi ?
Des fantômes... J'ai l'impression que Val m'hante jour et nuit ! Et pourtant, il n'est pas mort.

Racontes-nous une anecdote, n'importe laquelle !
Comment dire… C’était lors d’une mission, pour laquelle je devais espionner un fameux Val. Mes camouflages étaient parfaits et je ne sais comment, mais cet homme a réussi à me coincer dans un coin, me plaquant comme un mur et glissant sa main sous mon menton. Nos regards l’un dans l’autre, il me glissait des phrases, des phrases pleines d’affection bizarre, il était trop proche, son regard était trop chaud, ses mots brulaient ma peau alors c’est avec le souffle coupé que je me suis laissé sombrer. Je ne sais pas ce qu’il s’est passé, mais j’y remédierais ! Ça ne m’arrivera plus jamais ! Enfin je crois…

Quelque chose à ajouter ?
Ne me regarde pas autant intensément… ça me fait rougir.